Calendrier scolaire
La nouvelle est maintenant bien connue, la rentrée scolaire est repoussée d’un jour.
Les enseignants rentreront le 1er septembre et les élèves le 2.
Ces dates s’imposent dans le public, mais les établissements privés conservent leur liberté
d’organisation pédagogique.
Cette situation appelle de notre part plusieurs commentaires et points de vigilance:
Certes, le chef d’établissement dispose d’une certaine liberté d’organisation du calendrier
scolaire,
- mais le SPELC réaffirme clairement qu’aucune décision ne doit être prise sans
une réelle concertation de l’équipe pédagogique.Le chef d’établissement n’est pas le seul
bénéficiaire de cette liberté qui doit être avant tout au service de la communauté scolaire.
- les enseignants sont de droit public, rémunérés par l’État. Leurs obligations de
service sont fixées par des textes officiels pris par le Ministre. En conséquence, si la
répartition du service peut évoluer par rapport au public, le volume de travail est
clairement déterminé.
Nous attirons l’attention du ministère et des responsables des établissements sur la
situation des nouveaux enseignants. Que se passera-‐t-‐il en cas d’incident en août
si l’enseignant n’est pas encore officiellement installé ?
Qui sera responsable?